Tu as sûrement déjà entendu parlé de la sèche à la salle de sport. La sèche est la réduction du pourcentage de graisse corporelle conséquence d’une diète stricte. Cette méthode rend plus tes muscles plus visibles. Á l’inverse d’un régime classique qui te fait perdre de la graisse, mais aussi de la masse musculaire, la sèche te permet d’ajuster ton programme diététique afin que la perte musculaire soit minime. Mais que faut-il manger ? Voici quelques conseils.
Déficit calorique
Pour sécher avec succès, réduis ton apport énergétique. Lorsque tu consommes moins de calories que ce que ton corps nécessite, ce dernier va brûler les graisses. Mais si tu réduis ton apport calorique durant une période plus longue, alors c’est un peu de ta masse musculaire qui va disparaître. Il est donc nécessaire de bien réguler tes besoins énergétiques afin que cette perte musculaire soit minime.
Que faut-il manger ?
Avant tout, mange beaucoup de protéines. Elles garantissent une masse musculaire intacte. Tu as aussi besoin de graisses et de carbohydrates pour obtenir l’énergie nécessaire à brûler tes graisses. Les jours d’entraînement, consomme plus de carbohydrates que les jours de repos. Il s’agit de trouver le bon équilibre. La diète doit être variée en tenant compte des besoins de chacun et des résultats attendus. Planifie un programme d’alimentation et d’entraînement avec un professionnel.
S’entraîner pendant la sèche ?
Évidemment que tu vas continuer le sport ! Car tu souhaites conserver tes muscles si durement acquis. Continue ton entraînement habituel en faisant plus de cardio afin de brûler suffisamment d’énergie. N’oublie pas de coordonner ton programme d’entraînement avec ton nouveau régime alimentaire.
À quelle vitesse fondent les graisses ?
Si tu n’as pas suffisamment d’apport énergétique, ton corps va brûler ta masse musculaire. Et ce n’est pas ce qui est recherché ! Donc cherche le bon équilibre et n’exagère pas en réduisant le nombre de calories que tu manges. Dernier conseil : la sèche se pratique entre 4 à 6 jours maximum par les athlètes non-professionnels.
